mardi 14 avril 2009

Internet, une source infinie de sagesse, suite


\o/

Je poursuis ma quête de la connerie sur le ouèbe, et accessoirement, je continue à ne PAS faire mon article.

Donc, comme dirait James Bond, rien que pour vos yeux :


Vous aussi, faites preuve de toujours plus de créativité dans le n'importe quoi par ici ! (Merci à Thomas de m'avoir filé le lien, tu es vraiment un modèle pour moi dans le domaine des truc inutiles.)

PS : Pas de panique, bientôt ce sera le retour des articles dépressifs o// ! (Parce que je sens que vous allez être tout déconcertés sinon...)

_______________________________________________________

Pis alors, le petit bonus track de ce matin, c'est du Britney Spears, vu par Franz Ferdinand. (Hiiiiiiiii je vais les voir en Juillet, hiiiiiiiiii) :




lundi 13 avril 2009

Internet, une source infinie de sagesse

Il y a des moments de grâce qui vous redonne foi en l'humanité. De ces pépites de vie qui éclairent d'un jour nouveau la vision que l'on avait du monde. Il est de ces êtres qui vous donnent envie de croire en Dieu, de croire en eux.

Parmi ces millions de logs, de liens, de sites, de forums, de pages, de sons et de vidéos, on tombe parfois sur LE message, sur LA raison d'un espoir nouveau, du bonheur retrouvé. Et enfin on comprend que le ouèbe, c'est avant tout une formidable toile qui vit et respire au fil de la vie de millards d'êtres qui nous ressemblent. Car ce sont bel et bien de ponts entre les hommes que bâtissent les web-masters, au delà de tous clivages et a prioris.

Oui, il est de ces journées où un simple lien, une simple vidéo vous donne cette formidable envie de faire confiance en votre prochain, de le serrer dans vos bras et de lui murmurrer : "Moi aussi, je suis une partie de ce tout.".



Il est de ces images qui changent votre vie à jamais...





Celles-ci n'en font pas partie.











*sort*
(Personellement, ma partie préférée, c'est vers 1'10...)

samedi 4 avril 2009

Son goût de cendres

[echoes from my mind]


[Et son goût de cendre.] Tandis que le fil dévidé de sa pensée trainait au sol, serpent poussiéreux des greniers sans mémoire, elle interrogeait le silence. Avide de tout, surtout d'apprendre, d'appréhender le temps, ce vaste abîme de lumière béante. Mais devant elle se dressait le néant, à peine altéré de la certitude du pire, et des cris des enfants morts d'avoir vécu.
Rien, rien ici n'a de consistance que l'envie d'être ailleurs.
Elle a fermé la porte des songes, mais restait la brume des soupirs, l'écho du vide, et son goût de cendres.

jeudi 2 avril 2009

La balançoire des sentiments

Comme parfois on se sent con, comme parfois on se sent vivre !

Sans ces sursauts de survie, rien ne troublerait la nuit. Hier a sourit, aujourd'hui voudrait disparaitre dans les tréfonds du temps qui passe, demain apportera son lot de désillusions et de projets fantasques. Rien a changé et pourtant tout a soudain une autre couleur, les pourpres ont des reflets de sang, les verts sont comme plus éclatants, le bleu retrouve le mystère des abysses, et soudain, le voile gris du fil des jours laisse entrevoir un autre monde.
Il se repose instantanément mais le mal est fait, la pupille est dilatée, et pour toujours les rêves s'accrocheront à ce souvenir comme un éclat de lumière dans le noir.

Qui n'a jamais vu la lumière n'a pas peur du noir. Qui vit dans le noir espère la grisaille. J'ai des jours blancs et des jours noirs, comme les damiers d'un immense jeu d'échecs dont les règles m'échappent, ils s'alignent sur le chemin de mon temps. Rien ne se passe et tout se joue, rien n'est grave et tout s'oublie, d'où viennent alors ces fissures qui recouvrent tant de murs ?





Ce qu'il y a vraiment de merveilleux avec la balançoire des sentiments, c'est cet instant de grâce, où l'on est à l'extrême hauteur, prêt à toucher le ciel. Jamais la redescente n'a été aussi près, mais pendant un fragile espace de pensé, on croit au fond de soi, qu'on pourra s'envoler...